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Luck Marone, Dirigeant de Dunes-Perdues
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Luck Marone, Dirigeant de Dunes-Perdues
par Luck Marone Mar 15 Avr - 23:19
INFORMATIONS PERSONNELLES
Nom : Marone
Prénom : Luck
Âge : Trente-deux ans
Race : Humain.
Origines : Originaire du Royaume de Lordaeron. Comté-de-la-Brise.
Croyance(s) : Ne pratique pas la lumière, mais il se réfère généralement à elle.
Alignement : Neutre.
DESCRIPTION :
Taille : Un mètre soixante-dix huit.
Poids : Soixante-cinq kilogrammes.
Couleur de cheveux : Brun.
Couleur des yeux : Verts foncés.
Peau : La peau ni trop claire, ni mate, bien que le soleil de Tanaris lui donne un teint bronzé.
Qualités : Luck a de nombreuses qualités, et de nombreux défauts. Les qualités qui ressortent de lui sont : Son sens du commandement, Sa gentillesse, Sa capacité à se remettre en Question, Sa générosité envers les personnes qu'il apprécie. Peut-être son sens de l'humour pourri, qui peut en faire rire certains.
Défauts : Comme dit plus haut, Luck a également beaucoup de défauts. Ceux qui en ressortent sont : Son Impulsion (De temps à autres), Son envie de tout faire, Son envie de charmer qui peut devenir lourd. Il lui arrive d'être trop sûr de lui, ce qui lui coûte des erreurs.
Moral : (Description sur TRP. Je la retranscrirai ici.)
Description poussée : (Description sur TRP. Je la retranscrirai ici.)
FAMILLE / HISTOIRE :
Parents : Andrew et Pauline Marone
Frères/Soeurs : Edd Marone
Femme / Mari / Compagnon: Aucun, bien que plusieurs romances sans aboutissement.
Enfants : Aucun de connu. (Qui sait ?)
Autre(s) :
Evènements importants : Seront notés au fur et à mesure de l'avancement du BG.
Dicton personnel :
Histoire du personnage :
Je posterai ici les différents éléments importants de la vie de Luck Marone. Et, pour commencer, voici un des éléments les plus marquants de sa vie, qui lui a permis de se remettre en question.
Nom : Marone
Prénom : Luck
Âge : Trente-deux ans
Race : Humain.
Origines : Originaire du Royaume de Lordaeron. Comté-de-la-Brise.
Croyance(s) : Ne pratique pas la lumière, mais il se réfère généralement à elle.
Alignement : Neutre.
DESCRIPTION :
Taille : Un mètre soixante-dix huit.
Poids : Soixante-cinq kilogrammes.
Couleur de cheveux : Brun.
Couleur des yeux : Verts foncés.
Peau : La peau ni trop claire, ni mate, bien que le soleil de Tanaris lui donne un teint bronzé.
Qualités : Luck a de nombreuses qualités, et de nombreux défauts. Les qualités qui ressortent de lui sont : Son sens du commandement, Sa gentillesse, Sa capacité à se remettre en Question, Sa générosité envers les personnes qu'il apprécie. Peut-être son sens de l'humour pourri, qui peut en faire rire certains.
Défauts : Comme dit plus haut, Luck a également beaucoup de défauts. Ceux qui en ressortent sont : Son Impulsion (De temps à autres), Son envie de tout faire, Son envie de charmer qui peut devenir lourd. Il lui arrive d'être trop sûr de lui, ce qui lui coûte des erreurs.
Moral : (Description sur TRP. Je la retranscrirai ici.)
Description poussée : (Description sur TRP. Je la retranscrirai ici.)
FAMILLE / HISTOIRE :
Parents : Andrew et Pauline Marone
Frères/Soeurs : Edd Marone
Femme / Mari / Compagnon: Aucun, bien que plusieurs romances sans aboutissement.
Enfants : Aucun de connu. (Qui sait ?)
Autre(s) :
Evènements importants : Seront notés au fur et à mesure de l'avancement du BG.
Dicton personnel :
Histoire du personnage :
Je posterai ici les différents éléments importants de la vie de Luck Marone. Et, pour commencer, voici un des éléments les plus marquants de sa vie, qui lui a permis de se remettre en question.
- La Lettre:
- Luck s'était préparé pour cette soirée qu'il attendait depuis longtemps. Il s'était habillé en fonction de la situation, une riche tenue qui lui avait coûté cher. Il s'était coiffé spécialement pour la femme qu'il convoitait, et s'était parfumé afin de l'attendrir le plus possible. Il passait pour un noble au milieu des pirates et des contrebandiers à Baie-du-Butin, mais il s'en fichait. Il savait que, dans quelques minutes, la femme qu'il aimait discrètement allait devenir sa compagne, et cela le rendait impassible à toutes les remarques que l'on pouvait lui faire.
La Baie-du-Butin était remplie de personnes, mais Luck se fraya un chemin vers l'auberge où se reposait Aelia. Il marchait d'un pas assuré, la tête haute et un sourire satisfait persistait sur ses lèvres. Il ne prit la peine de saluer les personnes qu'il connaissait, et grimpait alors les différents étages du bâtiment. Il s'arrêta sur le seuil de la porte de la chambre de son amour tant convoité, souffla un bon coup, et frappa trois petits coups à celle-ci. Il attendit quelques minutes, mais personne ne vint lui ouvrir... Il frappa alors à nouveau trois petits coups, un petit peu plus forts. Toujours rien...
Suspicieux, Luck appuya doucement sur la poignée de la porte de la chambre. Il l'entrouvrit, afin de ne pas déranger Aelia, et l'appela à faible voix. Il répéta son nom plusieurs fois, avant de se rendre compte que personne n'allait répondre. Il ouvrit alors la porte entièrement, et toute la pièce était rangée. Le lit avait été fait, le bureau et la table avaient été rangées, plus rien ne traînait sur le plancher de la chambre. Il ne restait rien. Rien, sauf une lettre, pliée en trois, sur le lit proprement nettoyé.
Luck se précipita alors vers la lettre, se demandant ce qu'il pouvait bien y être marqué. Devait-elle s'absenter d'urgence ? Avait-elle quelque chose de prévu ? Les questions se bousculaient dans la tête du jeune homme, ne comprenant toujours pas la situation. Il ouvrit la lettre sans s’asseoir ni hésiter, et la lut alors attentivement. Il resta figé, comme tétanisé, comme immobilisé, comme paralysé. Il se força à la relire plusieurs fois, refusant de croire à chaque fois à ce que ses yeux lui montrait. Il ne pouvait y croire, non, il ne pouvait pas... Les vingtaines de lignes présentes sur la lettre étaient les derniers signes de vie de Aelia, les vingtaines dernières lignes qui devaient être les derniers souvenirs de cet amour qu'il frôlait du bout des doigts. Pourquoi ce changement direct ? Luck ne savait que penser ni comment réagir face à la réaction... La femme qu'il convoitait venait de lui avouer qu'elle ne pouvait rester avec lui car elle était bien de trop dangereuse pour lui. Elle était parti par peur de les tuer tous les deux...
Luck s'écrase sur le lit, et resta là, allongé, ne réagissant plus, ne pensant plus à rien, ne se préoccupant plus de rien. Il était comme un cadavre laissé ici, comme un objet de la chambre... Et il resta ainsi plusieurs heures, avant que le tavernier vienne le trouver dans la chambre qui ne lui appartenait pas.
- Enfance jusqu'à la fin de la famille Marone de Lordaeron:
L'histoire de Luck débuta à sa naissance, dans un petit village du nom de Comté de la Brise. Ce hameau, fourré dans les forets verdoyantes du Nord de la Capitale du Royaume de Lordaeron, accueillait tout au plus une quinzaine de familles. On pouvait y croiser des fermiers, des bûcherons ou des mineurs ; Seuls les parents de Luck n'avaient un métier qui nécessitait une certaine force. En effet, alors que les autres villageois se faisaient suer le dos à travailler, sous le soleil chaud de l'été, et sous la froide température de l'hiver, les Parents de Luck se déplaçaient à la Ville la plus proche, plus peuplée que le village où ils habitaient, afin d'y vendre de la nourriture, telles que des morceaux de pain rassis ou des pommes peu juteuses. Le travail ne leur faisait pas gagner plus qu'un Fermier, seulement quelques pièces de Cuivre en plus, et ce selon leur chiffre de vente. Le soir, lorsque la famille de Luck est au complet, à savoir ses parents et son frère cadet, chacun s'occupe à ce qu'il doit faire. Sa mère, elle, s'occupe de nettoyer la maisonnée, avant de préparer le dîner. Elle ne devait, en aucun cas, sortir de chez elle, sans quoi son époux ne lui manquerait pas de remettre les idées en place.
Car, en effet, le Père de Luck n'était pas des plus tendres avec sa femme, et avec sa famille en général. N'était que peu fier de sa vie, celui-ci noyait ses soucis dans l'alcool, et précisément dans le Whisky ; Une boisson que tous les Marone, une fois adulte, ne peut ne pas aimer. Ce verre de tous les soirs se transforma en cauchemar pour Luck, son frère et sa mère. Car, comme beaucoup d'hommes et de femmes, cet homme avait ce qu'on appelle ''l'Alcool mauvais''. Il devenait violent, vulgaire et vexant, envers tous ses proches. Que ce soit sa femme ou son fils, il ne se retenait pas de lever la main dessus, ou de les insulter de tous les noms qui lui passaient par la tête. De ''Petit Con'' à sale ''Bâtard'' ou ''Bâtarde'' (Terme de l'époque), tout y passait, et tout le monde y passait. Il fut fréquent que Luck fut battu, pour n'avoir ne serait-ce que fermer la porte de sa chambre trop brusquement, ou encore pour avoir oublié de fermer la fenêtre de la salle de séjour. Car n'importe quel argument était valable pour ce père indigne, personne ni même sa femme ne pouvait le raisonner, que ce soit en l'implorant à genoux, comme en pleurant.
Cette situation était dangereuse pour la petite famille, et Luck se posait parfois la question si son Père l'aimait vraiment comme un paternel, ou s'il était réellement son paternel. Il se demandait aussi pourquoi sa mère ne l'avait pas emmener loin, afin de ne plus vivre ceci... Il ne savait pas, et n'imaginait pas que son père serait capable de n'importe quoi pour les empêcher de quitter son toit. De plus, celui-ci les avait fortement déconseillés de prévenir quiconque, sous peine d'avoir le droit à deux fois pire que d'habitude. Chaque soir devint une persécution ; Les trois membres touchés par l'agressivité et par l'alcoolisme de ce prétendu père craignaient chaque jour la venue du soir, ils craignaient du châtiment que cet être immonde leur réservait.
En dehors de cela, car la famille devait bien vivre le jour lorsque le père était en ville, Luck passait ses journées dans les bois, avec ses deux meilleurs amis : Rose et Will. Un jour, tandis qu'ils se promenaient un jour d'été où le soleil tapait fort sur leurs épaules, ils s'arrêtèrent au pied d'un arbre gigantesque. Ils observèrent les longues et grandes feuilles vertes du végétal, et soudainement, Luck eut une idée. Il pris une petite pierre, dont une pointe ressortait, sur les feuilles tombées au sol, et demanda à ses amis de regarder. Il posa la pointe de la pierre sur l'écorce de l'arbre, et il grava dans celle-ci les initiales de ses amis, ainsi que le sien. Il ajouta à la suite ''Amis pour la Vie''. Ses amis rirent, et acquiescèrent par la suite. Mais ce que personne ne savait, c'est que Luck commençait à tomber amoureux de Rose, la belle jeune fille dont la chevelure blonde, soyeuse et éclatante ne dépassait jamais ses épaules. La couleur bleue de ses yeux, qui les faisait alors ressortir, charmait inconsciemment l'esprit de Luck, et comme un maléfice vaudou troll, lorsqu'il plongeait son regard dans le sien, il ne réussissait à s'en ressortir.
Peu de jours après cela, alors que Luck avait une dizaine d'années, son père, qui n'était pas encore totalement saoul, vint le trouver dans sa chambre. Commençant par un ''Eh, mon fils...'', il le prévint qu'à partir du lendemain, il se devait d'aller avec lui et sa mère en ville, afin de les aider à vendre leurs marchandises. Luck ne voulait pas, mais il se contenta d'un signe de tête. Il savait qu'en refusant, il n'aurait fait que déclencher la colère de son père prématurément. La soirée passa et, comme à son habitude, elle éclata entre violences physiques et verbales, conjugales et familiales. La nuit fut longue, car à vrai dire, rien ne se termina jamais sans que le père décida d'aller se coucher.
Le Lendemain matin, Luck fut réveillé par sa mère. Il était difficile à sortir du lit, mais lorsqu'il entendit les pas de son père s'approcher de sa porte, il n'hésita plus pour se lever afin de se préparer. Il eut à peine le temps de déjeuner un peu que son père pressa les choses, et à six heures tapantes, ils prirent la route vers la Ville. Cette route, qui reliait directement le Comté de la Brise à la petite Ville, était longue et Luck commençait peu à peu à avoir mal aux pieds. Bien qu'il ne se plaignait pas, il grimaçait, mais son père, qui l'avait surpris à geindre dans son coin, s'arrêta nettement et se tourna vers son fils. Il le baffa sur le moment, et le prévint que s'il recommençait, il s'en prendrait deux au lieu d'une. La mère de Luck ne fit rien, elle se contenta de tourner le regard, afin de ne pas voir cette violence gratuite employée par son époux. Elle commençait à se demander si elle avait réellement bien fait d'épouser un homme comme lui, qui n'était de loin comme ça au par avant... Des questions trottaient dans sa tête ; Est-ce bien le même homme ? ; Est-il malade ? ; Rêverais-je ?...
Ils arrivèrent alors à la ville, après une heure silencieuse de marche, et Luck fut surpris de voir ces multitudes de maisons, toutes collées les unes aux autres, et ces ruelles sombres et étroites, sales et lugubres. Il n'était encore jamais venu en ville, et imaginait que cela était plus espacé, plus propre et plus riche. Il fut alors déçu de cette découverte, et il continua sans broncher de suivre son père. Ils s'arrêtèrent sur la place du marché, où les parents de Luck tenaient un petit comptoir en bois sec et cassant. Ils posèrent les quelques cageots de pommes, de pains et de poires qu'ils avaient emmenés, et la mère de Luck se mit à faire sa publicité : ''Pommes et Poires fraiches ! Pain cuit de ce matin !''. Ces choses dites étaient, bien évidement, faux, mais il fallait bien bluffer afin de pouvoir vendre quelque chose. Le père de Luck était comme transformé, au marché. Il n'était ni violent ni vulgaire, mais peut-être était-ce pour ne pas effrayer la clientèle... Le jeune garçon se demandait ce qu'il devait faire, et alors qu'il allait s'asseoir sur un banc, son père l'attrapa par le bras, et le retourna brusquement.
''Mon petit Luck. Rends-toi utile, et va vendre ce pain dans les rues. C'est quinze piécettes l'unité, alors s'il manque quoi que ce soit, tu seras le seul fautif.
-D'accord Père, j'y vais tout de suite, répondit Luck avec un ton plat.
-Montres un peu plus d'enthousiaste. Ce n'est pas avec ta tête de vaut-rien que les gens de la ville t'achèteront quelque chose, repris son père, avant de retourner à son comptoir.''
Luck pris avec lui quelques pains, et fit ce que son père lui avait demandé. Il en vendit peu, mais n'avait rien perdu. Sa mère le félicita pour son premier jour, mais son père ne se contenta même pas de remerciements ou de félicitations. Ils rentrèrent alors tous les trois lorsque la nuit tombait, et cette nuit-là fut plus rude que d'habitude...
Les trois rentrèrent alors en début de soirée. Son père se servit un verre de Whisky, et tous ses proches se précipitèrent pour se cacher chacun dans leur chambre, pour les enfants, et dans la cuisine pour la mère. Cette nuit, qui aurait pu être des plus habituelles, sera cette fois plus horrible que les autres. Tout commença une vingtaine de minutes après le dîner. Le père de famille en était à son cinquième verre de Whisky, et il commençait à ressentir l'effet de son alcool fétiche. Il marchait sans raison d'un bout à l'autre de la maison, son verre à la main, cherchant le regard qui pourrait défier son envie de se défouler. Il s'était retenu de toute la soirée de crier, d'injurier et même de frapper, ni même du poing sur la table. Ce comportement choqua les trois autres membres de la famille, et même si un tel changement aurait dû être un soulagement pour eux, la peur qu'ils avaient n'a fait qu'amplifier, car lorsque toute la rage du Paternel sortira, elle fera plus de dégâts que d'habitude.
Les dégâts commencèrent lorsque le Père de Luck entra dans la chambre parentale, et qu'il surprit sa femme en train de se changer. Elle venait de se glisser dans sa robe de chambre en lin effilé, grisâtre et dont quelques tâches de gras étaient visibles à la lumière. Le paternel s'approcha de la femme, qui sentait son cœur battre de plus en plus rapidement, et il l'attrapa par le bras avec agressivité. Il la poussa sur le lit, et la regarda d'un regard de meurtrier, accompagnant avec cela un sourire digne du sadisme. La mère de Luck se tétanisa de peur... Qu'allait-il faire ? La tuer ? La battre et la laisser pour morte ? Non.
Il retira sa chemise, et son pantalon en toile. Il se pencha sur sa femme, morte de peur, et attrapa le col de la robe de sa femme d'une poigne de fer. Il mit l'index de sa seconde main sur sa bouche, signe de ne pas faire de bruit, et déchira alors brusquement la partie qui recouvrait le torse de la robe de la femme. Elle tenta de crier, mais la peur la tenait tellement qu'aucun son ne sortit. Mais alors qu'elle voyait la bête sauvage qu'elle avait face à elle commencer à descendre ses mains sur son corps à moitié nu, elle fut pris d'une élan de courage, et tenta de se débattre de l'emprise de l'homme qui allait la violer. Le poing de l'homme frappa sa tête, et assomma la femme sur le coup. Mais la porte était entrouverte, et alors que Luck observait la scène avec dégoût, peur et haine, il cria ''Maman !'' lorsqu'il vu celle-ci se faire assommer comme après un coup de masse par son époux. L'homme se retourna, et comme pris d'une rage sanguinaire, il s'approcha de la porte. Luck eut pour réflexe de partir, mais son père l'arrêta rapidement en l'attrapant par la nuque. Il le souleva d'une main, et alors que l'enfant était à une dizaine de centimètres du sol, son paternel le jeta plus loin. Le jeune garçon percuta une chaise, et la table à manger, avant de se taper la tête contre le sol. Il perdit, autant que sa mère, connaissance sur le moment.
Lorsqu'il se réveilla, il était encore sur le sol froid de son domicile. La lumière du jour le réveilla peu à peu, et son père était déjà parti. Il se précipita dans la chambre de sa mère, et celle-ci n'y était plus non plus... Luck était vraiment sous le choc, en plus d'être stressé. Qu'a-t-il bien pu se passer après son évanouissement. Il avait alors demandé à son frère, mais celui-ci refusa d'évoquer ce qu'il s'était passer la veille, lui aussi était encore sous le choc. Luck rentra dans sa chambre. Il pris quelques rechanges, et de quoi se nourrir, et rangea tout ça dans un baluchon. Il l'accrocha a une long bâton, et il sorti de chez lui, le baluchon sur l'épaule. Il alla voir ses amis, Rose et Will, mais alors qu'il voulait leur faire une farce, en arrivant discrètement par derrière, il surprit ses deux amis s'embrasser au pied de l'arbre où il avait graver les initiales des prénoms des trois amis. Il resta bloqué sur l'image, prenant du temps à réaliser que celle qu'il aimait depuis quelques années étaient tombée dans les bras de son meilleur ami. Il fut pris d'un élan de chagrin et de tristesse, et sans leur dire au revoir, il tourna les talons afin de quitter le village. Il ne prit pas la route de la ville, sans quoi il aurait pu croiser son père, mais il prit la route qui menait au Sud ; La grande route qui menait jusqu'à la capitale.
Il marcha longtemps et, peu à peu, la nuit commençait à tomber. Les rayons du soleil disparurent peu à peu, et l'obscurité de la nuit prit doucement le contrôle du ciel. Il s'arrêta sur le bord de la route, où il ouvrit son baluchon. Il ne savait pas faire de feu, mais il avait pris avec lui un duvet en lin, raccommodé par sa mère au fur et à mesure du temps. Cependant, alors qu'il se glissa dans sa couette, il entendit un bruit, dans le fourré derrière lui. Il se retourna brusquement, et les bruits continuèrent... Ils se rapprochèrent peu à peu vers lui, et tandis qu'une grande silhouette noire bondit sur lui, un objet vint siffler à l'oreille du jeune garçon, arrêtant la chose dans son élan. Brusquement à nouveau, Luck se retourna et aperçu une lumière, non loin. Il accouru alors, apeuré, et il croisa alors un rôdeur. Celui-ci, d'un air étonné, demanda :
''Mais que fais-tu ici, petit ? Traîner seul dans la nature, c'est très dangereux.
-Je fuis mon père, Sir, il me bat tous les soirs, et je n'en peut plus, répondit Luck d'une voix tremblante et aux bords des larmes.
-Mais tu ne peux pas rester ici, c'est trop dangereux. Tu viens de la Comté de la Brise, c'est ça ? Demanda à nouveau le rôdeur, guettant de temps à autres les alentours.
-Oui mais, par pitié, ne m'y ramenez pas, je vous en prie... Supplia Luck, d'une voix encore plus apeurée, rendant l'enfant presque pitoyable.
-Je ne peux pas te laisser là, et j'ai à faire... Tu as bien vu que tu n'es pas en sécurité ici. Si je ne serais pas arrivé, ce loup aurait fait de toi son dîner, expliqua le rôdeur.
-Ne me ramenez pas là-bas, je vous en prie. Laissez-moi vous suivre, je me ferais discret, je vous le jure ! Continua Luck avec la voix tremblante.
-Non, je ne peux pas, excuses-moi. Suis-moi, je te ramène chez toi, repris le Rôdeur en l'attrapant par le bras.
-Non, lâchez-moi ! Je ne veux pas ! S'exclama le jeune garçon en s'agitant dans tous les sens.
-Je ne peux pas faire autrement. Alors maintenant, viens, expliqua l'humain en le tirant par le bras, se dépêchant afin de ne pas trop tarder dans les bois.''
Luck se fit emmener de force par le rôdeur, et alors qu'ils arrivèrent au domicile du jeune garçon, le rôdeur frappa à la porte. C'est le père qui ouvrit, et d'un ton furieux, il demanda ce qu'il se passait. Le rôdeur n'eut à peine le temps d'expliquer la situation que l'homme saoul aperçut son enfant. Il l'attrapa brusquement par le bras, et le tira dans la maison. Celui-ci se cogna dans l'embrasure de la porte, mais il fut encore attiré vers la maison par son père qui forçait sans s'arrêter. Il ordonna au rôdeur de dégager, et il claqua la porte au nez de celui-ci. Le rôdeur partit alors, et Luck passa une nuit infernale. Son père lui hurla dessus, afin de savoir quelle idée lui était passé par la tête. Il le frappa, sans s'arrêter, au visage, au torse, au dos, partout, et il l'insultait sans arrêt. La mère suppliait son époux d'arrêter, à genoux, en pleurant, et lorsqu'elle vu son fils cracher un filet de sang sur le sol, à la suite d'un coup de poing administré par son père, elle se jeta sur son mari afin de l'écarter de son enfant. Elle cria ''Monstre !'', et l'homme l'attrapa par les épaules. Il la compressa d'une poigne de fer, et la jeta au sol. La femme tomba, percutant une commode. Alors au sol, un vase tomba sur le dos de la femme, basculant alors par le mouvement du meuble sur lequel il était posé lorsque la femme l'avait percuté. Elle gémît de douleur, et le paternel se retourna vers son fils. Il lui hurla que ce qui venait d'arriver était de sa faute, car son comportement était fautif de toute la situation.
L'horreur se termina sur les coups des deux heures du matin, et Luck fut forcé de dormir dehors à la belle étoile, sans rien pour se couvrir. Le lendemain, c'est sa mère qui vint réveiller Luck. Et lorsqu'il ouvrit les yeux, elle lui annonça une décision qu'elle avait prise dans la nuit.
Dernière édition par Luck Marone le Lun 12 Mai - 18:31, édité 2 fois
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Re: Luck Marone, Dirigeant de Dunes-Perdues
par Feizha Meril Jeu 17 Avr - 16:47
Tu sais déjà ce que j'en pense.
QUELQUE CHOSE VIENT DE TOMBAY~ (d'accord je vais me pendre)
Bon BG et bon perso 'tit gus.
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Re: Luck Marone, Dirigeant de Dunes-Perdues
par Luck Marone Jeu 17 Avr - 18:57
Merci Feizha des Îles.
SUR LES LAMES DE TON PLANCHAY~
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Re: Luck Marone, Dirigeant de Dunes-Perdues
par Amethera Wolfangus Lun 12 Mai - 11:06
Ton personnage est plutôt intéréssant. :rol:
Amethera Wolfangus- Messages : 16
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